« Les comparaisons internationales l’illustrent. Dans cette crise, le poids des zones urbaines est évident. Et logique. Elles sont faites pour maximiser les contacts dans une optique de productivité. Et quand ces contacts se transforment en risque de mortalité, on y retrouve la même efficacité ». C’est à partir de cette réflexion de l’auteur au cours d’une conversation qu’est né ce papier… Bonne(s) lecture(s), confinée(s) ou non